C'est la première et il ne faut pas la rater ! [Terminer].

Gashilama dormait lors d'une pause de son rude entraînement quotidien, lorsqu'un messager arriva en hurlant. Celui-ci faisait deux têtes de plus que lui et portait une tunique blanche.

-Gashi, Gashi ! Un message pour toi, c'est ta chance je crois !

Le jeune soldat se réveilla, la tête où l'on pouvait reconnaître la marque d'une plaque de son armure. Il se leva et tituba, tellement qu'il était encore endormit. Néanmoins il prit la lettre mais ne la lut pas de suite, il la mis dans son bouclier, se recoucha et se rendormit, où plutôt voulu se rendormir : Il était temps de reprendre l'entraînement et son supérieur arriva. Il était en armure cuivré dont les lanières étaient en cuir. On ne voyait rien de sa tête à cause de son casque mais vu sa posture, on ne pouvait pas pensé qu'il allait nous faire une accolade. Il se releva une nouvelle fois et re-tituba à cause du sommeil qui ne voulait pas le lâcher.

-Alors comme ça on roupille ?! Mais Môssieur n'est pas meilleur que tout le monde ! Je vais lui faire comprendre qu'on ne roupille pas à MON entraînement ! Non mais imaginez-le en mission où l'on doit sauver un fort ! On sera bien aidé si MONSIEUR dort ! Pour la peine misteur Elban, tu me feras trois cents pompes !

Rien que le fait de voir son supérieur en colère l'avait réveillé à moitié, mais là avec les hurlements poussés par celui-ci, il était tout à fait opératif. Il reçu l'ordre comme s'il avait reçu une série de directs du gauche et droite mais il résista et opina du chef. Dès que son tyran retourna s'occuper des autres, il se mit en position pour les pompes et commença à les compter. Au bout de la vingt-cinquième, il se sentit un peu plus lourd; à la cinquantième, il reprit confiance en lui et se dit qu'il en est au sixième du nombre. Il continua et au bout de la trois centième, il s'affala et se disant que c'est fini. Il reprit son souffle et se leva malheureusement l'entraînement était fini.... Avant de rentrer au dortoir il regarda le message : "Soldat Gashilama Elban est demandé au bureau administratif secret." Il relut cela, car le bureau dit "secret" était celui où l'on donné les missions; à sa deuxième relecture, il sauta et cria de joie car ça y est, on lui avait affecté une mission. Il prit une douche en vitesse, remit son armure, nettoya son arme et son bouclier et fonça vers le bureau cité si-dessus. Il y arriva et se trouva avec trois autres hommes. Ceux-là le dépassaient d'une tête à deux et ils ressemblaient à de vrais soldats, aussi bien il se sentit comme un enfant à leurs côté. Un homme était assis à son bureau, quatre feuilles dans ses mains. Il les tendit sans dire un mot. Voyant les autres prendre une feuille chacun, il prit la dernière. Celle-ci représenter l'ordre de mission. Théoriquement, la mission semblait facile : ils devaient accéder dans un camp aux niveaux des pics enneigés car quelque chose ne tournait pas rond là-bas. Ils partirent, juste après avoir fait leurs bagages. Ses collègues parlèrent entre eux, laissant Gashilama seul. Le chemin semblait long mais il était beaucoup plus que ça mais ils y accédèrent au bout de longs jours et de longues nuits. La vue était à en couper le souffle tellement c'était sublime. Ils trouvèrent le camp ... détruit. Les tentes étaient brûlées et recouverts de neige, les corps étaient écartelés et pour certains ils manquaient certains membres digestif....

La Divine avait reçut des informations dans la matinée de la part de ses espions postés dans les montagnes d'Astéorès.
Selon les sources, un campement humain avait été ravagé.
Au dernier constat, il ne demeurait aucun survivant.
En effet, une note détaillait le carnage: des os broyés, des entrailles dévorées, des lambeaux de chaires arrachées, des tête fendues...
Et la liste ne s'arrêtait pas là.
Sélene pensive, cherchait une créature conforme au profil de l'auteur du massacre.
Il y avait de nombreuses créatures qui vivaient dans les pics enneigés.
Dans le pire des scénarios, il s'agirait d'une attaque massive de zombies ou d'un Dragon.
Les zombies étaient des êtres dénués de toutes intelligences, même pas bon pour un entrainement de novice. Mais, leur grand nombre était toujours déstabilisant.
En vérité un Dragon était bien plus à craindre...
Esperance se décida rapidement.
La Déchu se rendra elle-même sur place.
Avant de partir, elle envoya une lettre à la Souveraine de Gothaku pour la prévenir de sa brève absence et informa sont Shinigami de prendre son rôle d'intendant au trône.
Cela terminer, Esperance s'éclipsa directement sur les lieux du drame...

Ses agents avaient dit vraie. Une véritable boucherie s'étalait devant ses yeux, comme un paysage donnant de la profondeur à une œuvre d'art. Macabre tableau sur fond blanc.
Sélene déambulait au milieu de « la scène de crime » à la recherche d'indices...
Les tentes carbonisées ramenaient notre enquêtrice vers le suspect numéros 1: le Dragon.
Restait à savoir pourquoi la bête les avait attaquée...
Des fragments de coquilles anciennes d'œufs répondirent à la question de la Divine.
Les dragons nichaient au même endroits que le lieu de leur naissance.
Ces humains s'étaient installés sur un site de ponte...
Ils avaient été imprudent en allant aussi loin vers les sommets, ils auraient du faire plus attention.
Peut-être seraient-ils encore en vie...

L'odeur de chaires brûlées et de sang étaient omniprésente.
L'atmosphère était lourde et la neige ne recouvraient que partiellement les restes.
Sélene s'assit en tailleur, au centre du camp.

*Le Dragon va certainement revenir. Il va venir s'assurer qu'il n'y a plus âme qui vive...
Je n'ai plus qu'a attendre sagement.* Pensa-telle confiante.

Un bruit la tira de ses rêveries, des hommes marchaient, le pas rendu lourd par l'ascension, la fatigue et la neige...
Esperance se releva, bras croisés la tête haute, fière de sa position au combien supérieure. L'orgueil en fête.
La fragrance de sang frais frappa de plein fouet Sélene.
La faim se fit ressentir.
Les soldats humain se tenaient maintenant face au spectacle morbide, les prunelles exorbitées.
La peur s'insinua sournoisement dans leur corps les laissant tremblotant...
La Divine ne put réprimée un rictus devant leur faiblesse.
Un homme la dévisagea, dabord pour sa beauté et son aura au combien tentatrice.
Et ensuite le regard se fit accusateur et effrayé...
Certes, la position de Sélene, au milieu du carnage, n'était certainement pas la meilleure pour disculper tout quiproquo.

« … Je n'ai pas tué ces humains. Ils sembleraient qu'un Dragon soit passé avant moi... » Dit-elle calmement.

Les soldats ressérérent inconsciemment leurs rangs....

« Rassurez-vous. Il n'est plus là... Mais... Il risque de revenir. » Souriante.

La Divine marcha jusqu'aux troupes...

« Je suis La Divine, Reine des Déchus. Désolé pour vos camarades. »

Esperance remarqua un garçon plus petit que les autres.
Tout jeune et mignon. Appétissant en somme...

« Vous recrutez au jardin d'enfants? » Ricana Sélene en fixant Elban.

Le groupe d'homme continuait son ascension et croisa un être, une femme. Assise au milieu du massacre, les pensées fusèrent et les hommes prirent peur.

*Et si elle avait fait se drame seule ? Et si elle était avec une armée prêt à nous attaquer ? Et si, et si ....*

Néanmoins le jeune soldat semblait peut-être perturbé mais pas vraiment apeuré, pour lui cette femme était là innocemment. Ce n'était que la naïveté qui agissait ses pensées. Les paroles qui sortirent de la bouche de la femme ou la femme elle-même lui faisaient jaillirent divers sensations tels que l'excitation, la peur ou le doute. Les hommes eux étaient terrifiés et ne semblaient ne pas bougé, en garde, arme sortit. Elle s'approcha, calmement, visiblement les armes ne lui faisaient pas peur. Gashilama semblait le seul à ne pas avoir sortit d'arme, ne voyant pas de danger imminent. Il essaya de se concentrer sur un point très important : les paroles de la grande dame. Se serait un dragon qui aurait ruiné ce lieu ? Et pourquoi donc ? Comment le savait-elle ? C'était louche, il le sentait. Mais les dernières paroles de cette personne lui remirent les idées en place. Il mit son poing droit sur son pectorale gauche tout en se redressant droit. Il se força à parler assez fort, pas vraiment pour elle mais pour essayer de faire reprendre conscience aux autres.

-Je me nomme Gashilama Elban, recrue de la quinzième division appartenant à l'armée du Seigneur Hector ! Et ce lieu, si ruiné est-il, est un ancien campement de la dîtes armée. Si vous souhaitez nous aider dans nos recherches, vous serez le bienvenu dans l'équipe, sinon je vous demanderai de foutre le camp où nous devrions faire usage de nos armes.

Il avait peur, dans ses mots la terreur se faisait sentir, malgré un soupçon de fierté pour son petit discours, bien qu'un peu menteur sur les bords. Ils ne devaient en aucun cas accepter l'aide d'une personne, qui que ça soit. Malheureusement, ses paroles n'avaient pas l'air de percuté ses congénères.

Le jeune homme ne se laissa pas démonter par la présence de la Divine.
Il se présenta :Gashilama Elban.
Selon ses dires, il appartenait à l'Armée d'Hector, un seigneur humain.
Elban, dans une insouciance folle, osa manquer de respect à la Reine des Déchus.
Cet humain semblait avoir un instinct de survie proche de zéro...
Néanmoins, il avait peur, ce qui calma quelque peu Sélene.
Un rictus tira les traits d'Esperance.
Comment cet avorton pouvait faire preuve d'autant de bêtise?
Un autre soldat tapa derrière la tête d'Elban, comme pour lui faire ravaler ses paroles.

« C'est La Divine idiot! A qui crois tu t'adresser?! » Dit le soldat à Gash.

La dite Déchu, s'éclipsa face a Gash, enserrant de ses mains les joue rougies du garçon.
Elle laissa ses canines s'agrandirent sensiblement, devant l'appétissant repas que représentait le jeune soldat.
A première vue, Sélene et Elban mesuraient la même taille.

« L'usages de tes armes? Il est puéril de ta part avortons de croire, ne serait-ce qu'une seconde, que tu as une chance face à moi, toi et tes camarades... » Siffla-t-elle.

« Excusez le Madame, il est jeune et un peu bête... » Tenta un homme du régiment pour sortir d'affaire Gash.

La Divine caressa la peau du visage de sa proie, dans un geste presque tendre.
Enfin, si on faisait abstraction de son sourire vampirique...

« Très bien avortons, je m'occupe du Dragon. Et après de toi... »

Elle se désintéressa de lui, et expliqua à l'armée miniature ce qu'il devait faire.
C'est à dire remontait un camp fictif pour apater le Dragon. Seul quelques soldats, les meilleurs, resteront avec elle.

« Et l'avortons... » Ajouta-t-elle.

Les soldats ne se firent pas prier.

A dire vraie, ils craignaient plus la Divine que le Dragon...

Gashilama sentit le poids d'une erreur qu'il fit, ne serait-ce par les mots de son collègue, son coup ou tout simplement ou les canines qui s'agrandirent pas loin de son visage. Pour la première fois qu'il vit la dame, ce qui représentait pour lui une éternité, il sentit que la mort n'était pas loin. Le simple fait de voir les dents ainsi lui coupa l'envie des départs en mission. Une chance pour lui, l'un de ses collègues le sauva, du moins il le pensait. Il écouta le plan mais n'aima pas le final. Il s'imaginait cuit en repas dans une grosse marmite. Toujours est-il qu'il aida à créer le camp "fictif" qui ferait venir la bête colossal. Les soldats appelés "les meilleurs" par la Divine seraient les seuls qui auraient le "privilège" de combattre le Dragon, et il en fit partit même s'il n'était pas l'un du groupe en question. Au bout de quelques longues minutes, le campement était prêt et il ne restait plus qu'à attendre le monstre. Il profita du temps libre pour aiguiser sa lame, quand une idée surgit. Il s'approcha de la Divine, avec un peu de peur de manquer de respect une nouvelle fois ou de dire une nouvelle gaucherie.

-Excusez moi Madame, j'aimerai que vous me dîtes quelque peu d'information sur la bête que serait le Dragon. Au moins sa taille, s'il remarque les couleurs, si il a un point vital, si ses écailles recouvrent bien toutes sa peau. Et puis surtout, je tiens à demander votre pardon pour l'irrespect dont j'ai fais preuve...

La Divine c'était étendu sur un rocher proche du campement fraichement réinstallé.
Allongée sur une couverture empruntée à un soldat, pour ne pas dire volée, elle contemplait le ciel blanc aussi immaculé que le sol enneigé.
La plupart des hommes l'évitaient soigneusement, ils s'affairaient à aiguiser leur lame et se préparer pour le futur combat contre le Dragon.
Ce que Sélene avait omis de leur dire, c'était qu'aucun d'eux ne combattraient le Dragon.
Elle s'en chargerait seule.
Esperance se servait de ces soldats comme simple appât, un camp vide n'aurait pas intéressé le Dragon...

L'odeur de l'avortons se rapprocha de la position de Sélene.
En effet, il avait quelque questions à lui poser...
La Déchu sourit.

« Jeune humain... J'accepte tes excuses. Bien que ça ne m'empêchera pas de me nourrir de ton sang.
Le Dragon n'a pas particulièrement de point faible.
Au vue des dégâts du précédent campement, je pencherai pour un adulte en pleine possession de ses dons. C'est à dire, entre 20 et 30 mètre de haut. A savoir gamin: il ne crache pas seulement du feu...
Je pense qu'il doit alterner avec de l'acide. D'où les trous dans le corps de tes camarades morts.
De plus, le Dragon est une créature qui possède une intelligence supérieur à celle de ta race...
Pour tuer une Dragon, il vaut mieux s'en prendre à sa tête qu'a son cœur.
Son palpitant est trop profondément ancré et caché dans ses entrailles...
Par contre, impossible de louper sa tête et par conséquence son cerveau.
Autre chose, un humain n'a pas la force physique de transpercer sa carapace écailleuse qui recouvre l'intégralité de son corps... »

La Divine planta ses prunelles grise dans celles d'Elban...

« Vous n'êtes que des appâts pour le grand reptile au sang chaud... » Murmura t-elle.

Toutes ces informations déçurent une fois de plus le jeune homme, car malheureusement il s'imagina encore une fois grand héros victorieux du grand dragon... Mais le fait qu'elle parla de l'acide lui titilla la mémoire. Il avait lu un livre qui parlait des dragons et deux types de dragon pouvaient cracher de l'acide : les dragons noirs et les dragons verts. Les noirs semblaient être ceux qui pouvaient le plus faire ces dommages là. Ils étaient réputés pour être des gens fourbes lorsqu'ils usent de la sorcellerie "lycanthropie" mais de vrais destructeurs lorsqu'ils étaient sous leurs vrai formes. Les verts, eux étaient moins mauvais mais il fallait gagner leur confiance sinon vous deveniez son repas. Il n'avait pas vraiment fait gaffe à la remarque qui lui était directement destiné. Néanmoins il voulait en savoir d'avantage dont elle allait abattre cet ennemi. Les armes étaient le meilleurs moyen de se battre, mais si cela était inutile que restait-il ?

-Excusez moi encore une fois car vous allez surement trouver mes paroles irrespectueux et inculte, mais, serait-ce possible qu'il y en ait deux ? Et si je comprends bien, nous ne servirons que de bouffe devant la bête pendant que vous agissiez, mais que feriez-vous ? Car si nous, hommes armés que nous sommes, que pourriez-vous ?

L'expression du jeune homme changea, il avait l'air déçu.
S'attendait-il vraiment à devenir un héros, victorieux humain devant la puissance d'un Dragon?
Sa naïveté frôlait la stupidité...
Dire que l'Homme aimait se donner le titre de « race suprême » en rapport à leur grande intelligence.
Elban n'était peut-être pas le garçon à prendre comme référence.
Néanmoins, il était encore jeune et pouvait encore s'améliorer.
Il le devait s'il voulait avoir la chance de survivre...
Dans l'ignorance, Elban continua son interrogatoire.

« Il n'y qu'un seul Dragon... Avortons. » Répliqua la Divine.

« Ma puissance n'est même pas comparable à votre Armée au complet... » Remplit d'orgueil.

Esperance s'assit en tailleur, toujours sur la couverture.

« Toi et tes compagnons vous vous mettrez à l'abri dés l'arrivée de l'ennemi. Il ne s'intéressera qu'à ma personne... Les Dragons sont des créatures de fierté égale à la mienne. Il va vouloir un adversaire digne de ce nom... Rassure toi, j'ai déjà eu à faire à ces reptiles... »Songeuse.

Flash-back:

Nous sommes en 766 de l'ère de Samaël Etherna.

*Sélene Esperance et Sharmista Etherna se disputaient violemment dans l'enceinte du Palais de la Lune.
Le motif de la querelle: la futur Divine refusait l'autorité de sa génitrice, la prochaine Reine de Gothaku. Pour se rebeller, Sélene avait voulu vider de son sang le donneur personnel de Sharmista. Tous ne s'était pas déroulé comme prévu...

La Déchu et la Vampire se battaient dans une lutte acharnée pour la suprématie.
Les insultes verbales et sarcasmes en tous genres étaient ponctuellement accompagnés d'objets lancés à la volée, entre autres coups...

« Tu es aussi gracieuse qu'un Zombi sur un champs de bataille... Et je ne parle même pas de tes vêtements... Il faudrait que tu en porte! » S'exclama Sharmista passablement énervée.

« C'est cela Mimi... Venant d'une congère comme toi, c'est risible. Associal. Ce n'est pas moi qui passe mon temps à converser avec des morts! Dit plutôt que tu as peur que je te vole la vedette... » Cria une Sélene dans le même états que son interlocutrice.

La fille Etherna en voulant frapper à l'abdomen Esperance, la griffa de ses ongles, lui laissant des petites traces où perlaient quelques gouttes vermeilles...

« Toi... » Ragea la blessée.

« Tu l'as mérité, petite bonne de Déchu... » Dit Sharmista le menton relevé fière.

Sélene attrapa un vase remplit d'eau et le balança sur sa génitrice.
Eau et vampire ne font pas bon ménage...
Pour se protéger du liquide incolore, Sharmista n'eut d'autre choix que de se jeter sur Esperance.
Le dos du démon rentra brutalement en contact avec le mur, projeté par la force vampirique de la princesse du royaume...

Le mur céda, épuisé et vaincu...
Il avait reçu précédemment une armoire, un canapé, un fauteuil, enfin divers objets du mobilier.
Elles tombèrent, suivant la chute du mur.
La Vampire se retrouva sur Sélene, allongé de tout son long, surprise.
Quant à elle, la Déchu respirait fortement dans le coup de sa génitrice, confuse de trouver son odeur si entêtante...

Le trou donner accé sur les appartements privée du Roi.
Il était assis sur un large fauteuil, tranquillement plongé dans sa lecture quand l'événement se produisit...
Maintenant il regardait effaré les deux « délinquantes » affalées à terre...
Ne cesseront-elles jamais? Pensa-t-il.
Les filles se relevèrent prestement, encore sous le joug de leur disputes.
En apercevant le regard glacial du souverain, d'un accord tacite et silencieux, elles rangèrent provisoirement la hache de guerre...
Consciente de leur faute, elles attendèrent que la sanction tombe...
Et elle tomba, aussi violente que fut leur chute.
Samaël les envoya combattre un Dragon...

Sélene et Sharmista marchaient dans un silence pesant en direction du repair de la Bête.
Elles avançaient vite, préssé dans finir.
Un duel contre un Dragon était une nouveauté.
Elles arrivèrent à destination....*

Fin Flash-back.

La Divine fut coupée de ses souvenirs quand un bruit sourd éveilla ses sens...

Le jeune homme se sentit sur le coup profondément gêné, car il avait enfin pris conscience de sa stupidité. Il la regarda, et se souvint d'une légende par rapport à des femmes, d'une beauté extraordinaire, qui l'utilisa pour tuer leur proie. Elle compara la Divine à ces personnes, mais ce demanda s'il n'y avait pas une manière de rester loyal envers l'armée humaine mais arrêter d'attirer les foudres de la femme. Il regagna l'armée, et en entendit les bruits d'un monstre arrivant, il s'exprima.

-Bon que ceux qui ne sont pas élus se cache, où ils peuvent comme ils peuvent. Les autres suivaient moi et allons nous battre, et s'il le faut mourir pour l'empire humain !

Il leva son arme et la foule fit de même avec des cris. Il se sentait fier, fier mais menteur car ils n'allaient pas se battre, et il le savait.... Il s'éloigna avec la petite troupe des autres hommes, et lorsqu'ils furent assez loin de l'armée il termina son discours.

-Bon les gars, écoutez moi, non pas parce que c'est surement notre derniers jours de nos vies mais parce que je vous ai menti, avec la Divine, nous ne combattrions pas le Dragon car soit disant nous ne pourrions même pas égratigner une écaille de la bête. Son plan était de finir dans le ventre de la bête, mais ce que je vous propose, pas vraiment fièrement, c'est de me suivre dans un endroit où nous pourrions attendre tranquillement et où nous pourrions regarder le combat.

L'un des soldats se moqua de lui, puis suivit des autres, et au final, personne ne le suivit et il partit seul dans sa grotte. Il réussit à allumer un feu avec ces ustensiles de survie. De là il allait pouvoir regarder la bête et la femme se livré dans un combat immense. En attendant il se demandait pouvoir l'armée avait décidé de se mettre ici.

L'Avortons sait se rendre utile. Pensa Sélene en le voyant mettre à l'abris ses camarades.
Les battements d'ailes se rapprochaient.
Bientôt, haut dans le ciel, il était possible de distinguer la masse noire descendant en pic vers le sol.
Le Dragon Noir atterrit sur ses quatres membres, imposant, il force le respect et la crainte.
La Divine n'avait pas bougé de sa place, elle l'observait, le scrutait comme pour lire ses sombres pensées.
Le reptile au sang chaud ouvra sa gueule, de l'acide coulait à terre formant des trous.
Menaçant, il déploya ses ailes et redressa la tête fixant à son tour Esperance.
Ses yeux jaunes au pupilles fendues étudiait avec attention l'ennemi.
Sélene s'approcha du Dragon, ignorant la peur qu'il instaurait.
Elle se planta devant lui, sentant le souffle chaud de la bête.
Il colla ses naseaux à la Divine, reniflement bruyamment.
Surpris, il se recula vivement, regardant Sélene, les paupières à demi-clauses.

« Alors l'ancien... Aurait-on des pertes de mémoires? »Murmura-t-elle.

*Serais-tu la Déchu que Samaël m'avait envoyé avec sa fille? * Psalmodia-t-il.

« Exact l'ancien. Sélene Esperance. Divine des Déchus... »

*Et bien. On peux dire que tu as progressé... * Dédaigneux.

La Divine s'arme de son Kusarigama.

« Oui, suffisamment pour ne pas refaire les mêmes erreurs que celles du passées... »

*Toujours aussi prétentieuse... On dirait que la leçon de l'autre fois ne t'a pas suffit. Femme, ces humains ont souillés un lieu sacré! J'annihilerais chaque Homme foulant la terre de ce sanctuaire!*

« Nia nia nia... Tu sais. Lieu sacré et Déchu, c'est un peu comme une dichotomie. Et puis, j'ai le devoir de protéger tous sujets de la Reine Sharmista. Alors l'ancien, choisis: Où tu laisses ces soldats partir, sans faire d'histoire... Où, je te tue » Souriante.

*... Toujours aussi insolente... A croire que tu n'as pas évolué... Je vais les anéantir et toi avec.* Ricana le Dragon.

« Merci pour cette revanche l'ancien. » Dit-elle excitée.

La Déchu se mit en position, améliorant ses appuis. Elle était plus que prête pour cet affrontement.
Le Dragon inspira, remplissant ses poumons.
Seulement, des soldats qui c'étaient moqués des paroles d'Elban affluaient pour combattre...

Gashilama regarda la bête, il sentit la peur monté en lui. Il tourna vivement la tête en pensant à ses parents, au courage qu'il fallait pour être soldat. Puis y repensant, il se dit qu'il n'a rien d'autre à faire que de commencer à écrire un rapport détaillé de la mission. Tout y était retranscrit, de leur départ à leur arrivé et la rencontre avec la Divine. Il y nota les "dialogues" dont il était sujet avec la personne en question. Il s'arrêta en pensant que maintenant la suite dépendait d'elle. Le texte allait-il être un mémorial d'un mort peureux ? Ou un rapport de mission ? Il la regarda, elle semblait parler seule ou du moins la grosse bête noire ne lui répondait pas directement. Quelque temps après elle se mit en garde. Avant que le combat commence, il écrivit les paroles de la Divine. Puis il vit ses collègues, suicidaires. Il les nomma tous, un par un. Il se souvenait de tous les noms de ses camarades qui étaient partis avec lui. Il lui restait encore un peu de temps alors il en profita pour commencer à faire des croix en bois en guise de lieu de recueillement.

-Désolé mes frères, désolé de vous abandonner aussi lâchement, mais ne vous avais-je pas prévenu que votre mort était là ? Qu'il fallait la laisser faire ?

La Divine observa un court instant les valeureux soldats humains avancés au front.
Sélene respectait ces hommes pour leur courage et leur témérité, cette envie de protéger l'honneur de leur camp, de ne pas abandonné, de ce battre coûte que coûte...
Ces soldats n'étaient pas les siens, ils ne servaient pas sa cause.
Et pourtant, Esperance sentaient qu'à ce moment, ces hommes étaient sous sa responsabilité.
Aucunes pertes n'étaient tolérés...

Le Dragon expulsa du tréfonds de ses entrailles une gerbes de feu sur les humains en armure.
De son Kusarigama, la Reine des Déchus détourna la trajectoire des flammes, épargnant ainsi les soldats.

- « Dégagez! »Ordonna-t-elle aux humains.

*Tss... J'ai comme l'impression que tu es mieux préparé que la dernière fois Démon...*

La Bête bondit toutes griffes dehors sur Esperance qui roula souplement sur le côté, évitant de se faire aplatir.
Puis, ils cracha un amas de bave acide à ses pieds, empêchant ainsi les soldats de tenter une quelconques approches...
Sélene lança une onde démoniaque dans une des pattes arrière du reptile, éclatant au passage certaines de ses écailles.
Le Dragon grogna et d'un coup de mâchoire, il tenta de croquer la Divine.
Profitant de l'ouverture, la Déchu planta l'extrémité de sa lame dans la gorge du monstre et tira fermement, déchirant le palé du Dragon...

Les soldats, l'adrénaline coulant à flot dans leurs veines, hurlaient et ne cessaient d'attaquer sans relâche la Bête.
La Divine sourit devant tant de fougue. *Aujourd'hui se sont mes hommes et je n'en perdrait aucun.*

Le reptile s'éleva au dessus du sol, essayant de prendre à revers l'ennemi.
Une seconde onde démoniaques, partant de Sélene, disloqua littéralement l'aile droite du Dragon à l'impact.
Il retomba lourdement au sol, rageant de colère, vomissant des flots d'acides...
Esperance protégea de son corps un soldat coincé entre deux roches.
Elle laissa échappé un petit cri suraigu sentant son dos devenir brassié, rongé par le liquide acide.
Fortes heureusement, Sélene se régénéra en une fraction de seconde, se retournant vers le Dragon cloué a terre...

« Amusons-nous encore un peu l'ancien... »

La Divine mordit délicatement dans son poignet laissant deux petites perles de sang se répandre entre ses doigts..
Le mot « Fléau » s'inscrivit sur le dos de sa main.

« Vient jouer avec moi Fléau... La partie reprend. » Murmura-t-elle.

Un pentacle apparut soudainement, l'atmosphère se rarrifit devenant lourde et sèche à la fois.
Une masse noire se forma au milieux du cercle laissant entrevoir les membres d'un autre monstre...

Un être difforme à l'apparence de Cerbère se tenait maintenant sur ses quatre pattes, dominant de sa hauteur le Dragon...

*C'EST UNE BIEN JOLIE PROIE FEMME QUE TU ME DONNES EN PATURE...* Psalmodia le Fléau.

« Arrache lui la tête et dévore le... Il est tous à toi. »

*MERVEILLEUX, J'AVAIS TELLEMENT FAIM... TU NE M'AS PAS INVOQUE DEPUIS UNE ETERNITE FEMME...*

Le chien des Enfers lécha les doigts recouverts de sang d'Esperance.
Les soldats, par instinct de conservation s'étaient vivement reculés à la vue de cette autre bête, plus effrayante que le Dragon.
Ce monstre né de la peur demeurant dans le cœur de chaque êtres vivants...

Le reptile, dans un acte désespéré, tenta de lacérer l'hideuse face du Fléau...
En vint, l'invocation de la Divine, ferma sa monstrueuse mâchoire sur le coup du Dragon et le lui arracha d'un seul et même geste. L'existence de ce légendaire Dragon Noir s'arrêta.
Le fil de la vie tranché.
...

Gashilama continuait à écrire son rapport. Il écrivit tout ce qu'il pouvait voir, même l'invocation. Il ne put décrire que ses pattes tant la bête lui semblait immense. Puis il vit la gueule, celle-ci s'était refermé vers le Dragon. Tout fut noter lorsqu'il entendit que le monstre ne semblait pas être venu seul de l'enfer. En effet, des morts-vivants étaient là, devant lui, en masse. Il sortit ses armes et chargea. Il planta le premier venu et frappa le deuxième de son bouclier, l'envoyant valser. Le troisième se prit le pieux du mécanisme là où se trouve le coeur d'un homme. Puis il s'arrêta pour s'occuper de se défendre : il recula d'un pas et vit un mort-vivant passé devant lui, lame en avant. Un second allait le planter mais il eut le réflexe d'actionner son sort qui provoqua un petit muret de verre mais aussi résistant que du roc. Il n'allait pas durer longtemps, sachant que chaque choc contre le sort se réprimait sur lui. Inutile de vous dire que ses forces le quittaient rapidement. Il tint bon jusqu'à l'entrée. Il provoqua un éboulement d'un lancer de bouclier, avec le peu de force qui lui restait, avant de s'évanouir, épuisé, le sortilège lui avait trop volé d'énergie.

Le Fléau dévore le cadavre du Dragon, déchirant écailles, muscles et os comme de vulgaires brindilles d'herbes.
Les soldats regardaient la scène silencieusement.
Ils fixaient le Fléau décortiquant de ses dents le Dragon...
Certains, regrettaient presque l'ennemi a cette Bête immonde.
Bientôt, il ne restera plus rien du reptile.
Entièrement mangé par l'invocation de la Divine.

Sélene rappela le Fléau.
Des chaînes sortirent du pentacle et ligotèrent la Bête, l'emmenant dans les entrailles de la terres.

*CE FUT UN VÉRITABLE PLAISIR, FEMME. NE TARDE PAS AUTANT POUR FAIRE APPEL A MOI DORENAVANT...*

La Divine se tourna, faisant face aux humains.
Elle leur ordonna, de redescendre de la montagne, et de ne plus jamais revenir en ces lieux.
Quelque soit la raison.
Une odeur putride alerta Esperance de la venue d'un groupe de Zombie.
L'aura du Fléau avait du les attirés.
Elle se dirigea vers l'entrée de la grotte, fauchant de sa lame les morts-vivants.
Ils étaient venus en masse, pour accélérer la cadence, la Déchus lança une onde démoniaque d'une extrême violence. Démantibulant les corps des Zombies. S'écrasant et éclatant leur chaires comme des fruits trop mûres...

Elle retrouva le jeune soldat Elban inanimé et vérifia ses fonctions vitales.
Ne trouvant rien d'anormal, elle le transporta.
Sélene le traina par le poignet, laissant son armure glissé sur la neige.
Elle le ramena au camps et le plaça dans un tente sur de nombreuses couvertures...
Un hommes entra et se présenta comme le chef du régiment.
Il remercia la Divine pour sa contribution et son aide au combat.
Puis, il questionna Esperance...

« Madame. Que comptez vous faire de Gash'... Certes, il est un peu peureux, mais c'est un bon garçon... »Dit le soldat, craignant pour la vie d'Elban.

Assise en tailleur prés de l'Avorton évanoui, Sélene s'étira paresseusement.

« N'ai crainte humain. Cet enfant sera juste mon donneur de sang... J'aime le sang chaud. Aucune raisons de l'abattre donc... » Murmura Esperance.

Le chef des soldats se résigna et sortit de la tente, pas vraiment rassuré pour autant...
La Divine attendit patiemment le réveil de sa proie...

Gashilama se réveilla, la tête endolori comme si l'on frappait sa tête avec une masse. Il regarda autour de lui, il était dans une tente. Celle-ci fut de couleur normal pour un militaire appartenant à l'armée d'Hector. Il devait être au campement, ne serait-ce par rapport au mobilier peu existant ou la toile représentant un "mur". Néanmoins il découvrit à son chevet, la Divine qui attendait son réveil. Tendant son bras droit, il essaya d'attraper ses notes, qui était sur une table de chevet en bois. Il lui manqua quelque centimètre pour les attrapait, mais il ne se sentit pas en forme pour les aller les prendre. Déçu, il s'appuya profondément dans son oreiller, il regarda la dame et lui esquissa un sourire, joyeux mais faible.

- Merci ... Mais que s'est-il passé ? Sommes-nous en route ou déjà arrivé ?

Comme ses paroles furent dit un peu trop normalement, le mal de crâne reprit, il mit sa main sur son front, massant afin de ralentir la douleur. Il sentit le tissu du bandage, et pensa qu'une personne lui avait administrait les premiers soins. Il regarda la dame et diverses pensées lui traversèrent la tête.

* Pourquoi est-elle encore là ? Qu'attend-elle de moi ?*

Cela ne calma pas son mal au crâne, bien au contraire. Il préféra ne plus y penser et regarder le toit de la tente, attendant que le mal se passe ou que le sommeil reprenne le dessus.

Sélene fixait sa proie reprendre lentement connaissance.
L'humain avait du mal à s'acclimater au réveil.
Il était faible face au prédateur.
Elban sourit à la Divine qui lui rendait...
Bientôt il allait pouvoir s'endormir profondément, un sommeil sans rêves.
Il semblait confus, Esperance posa un main rassurante sur son torse.

- « Tu te trouves toujours au camps, n'es crainte. Tu es en sécurité. »Murmura la Déchu.

Un sourire bienveillant orna le visage de Sélene.
Esperance remarqua l'état de réflexion du jeune homme et décida d'agir.
Elle passa une jambe de chaque côtés de ses hanches et enfouit sa tête dans le coup de l'humain.
Ses lèvres se posèrent sur la chaire tendre et elle sentit les pulsations sanguines si envoûtantes.
Ses canines transpercèrent avec facilité la peau d'Elban et la Divine put enfin se délecter de son sang...

Gashi sentit les crocs de la Divine et se débattit autant que possible, malheureusement toute sa force n'avait pas été recouvré et il ne put que se laisser faire. Il sentit le manque de sang en lui ne serait-ce que par les engourdissements dans les bras. La panique montait en lui. Il essayait de pousser le corps de la Divine mais il n'y parvint pas. Il se sentait , dans les deux sens du terme, coincé. Il voulut crier mais aucun son ne sortit puis il sentit ses maigres forces le quitter, une fois de plus. Divers pensées, ses rêves et son idole fut devant ses yeux, du moins il le crut. Il se revit se battre contre le gros homme pour sa mère, la mort de son père puis il vit son idole, le guerrier Zhou Tai. Le grand homme habillé de son armure de métal obsidienne, son sabre pendant à sa ceinture, côté gauche. Il posait sur lui un regard mauvais et déclara d'une voix rauque "Ce n'est pas ton jour, et dans le chaos, il faut se battre !". Puis revint la réalité. Ses forces étaient revenu, ainsi que sa tête. Il utilisa son petit sortilège de défense et invoqua un petit muret de verre verticale, qui semblait faire lever la Divine même si les crocs étaient toujours accrochés. Il poussa sur sa main droite et tomba du lit, déchirant un morceau de peau de son épaule. Il mit sa main sur son épaule et chercha un bandage, qu'il utilisa sur sa nouvelle blessure.

-Non ... Je ne servirai pas de repas, pas ce soir ....

D'un geste il attrapa sa lame qui été à ses côtés. Il la dégaina et la pointa vers la Divine, cessant son petit sortilège.

La Divine regarda la lame du jeune homme pointait sur elle.
Quel imbécile. Comme si une arme tenu de la main d'un faible homme encore en proie à sa puberté pouvait lui faire le moindre mal.
Cela en devenait ridicule.
De plus, en se retirant de l'emprise de la Déchu, il avait aggravé sa blessure.
Sans ça, il n'aurait surement eu aucune cicatrice...
Sélene essuya le peu de sang qui perlait de ses lèvres.
Elle fixa, tête haute, l'Avorton.

« Penses-tu réellement pouvoir quoi que se soit contre moi... Je ne te pensais pas aussi bête. »

Pour appuyer ses dires, la Divine désarma d'un geste de la main Elban. Et elle agrippa son coup de ses doigts, le soulevant au dessus du sol...

« Plus jamais tu ne pointeras une arme sur moi. Rappel toi bien de ça. Il n'y aura pas de prochaine fois. »

Elle lâcha le jeune homme par terre et quitta les lieux...

[Fin du Rp]

» Première grande ville [pour Sakuza]