Night Coursevent - La vie n'est qu'un tissu de mensonge..

Histoire

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« Je suis la cible qu'il te faut, le satellite en trop.
J'ai courbé les épaules et j'ai joué mon rôle.
Je suis comme tout le monde.
Pourtant malgré moi de la peur je suis l'hôte..
Je suis l'enfant d'un peuple sourd.
Qu'on vienne à mon secours.
J'ai construit des barrières, la vie suit son cours.
Je n'attends plus le jour, j'ai renié mes dieux pour toujours. »

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Retrace 0,
Car il faut bien que ça commence quelque part..

« Je suis l'enfant d'un peuple sourd,
Qu'on vienne à mon secours.
J'ai construit ma vie et des barrières autour.
Sans jamais voir le jour,
J'ai prié mes dieux enfermée seule dans ma tour.
Comme toi j'ai voulu un visage et voir du paysage.
Prendre le large, écoutez mon message :
Les barreaux d'une cage,
Peuvent céder sous le poids des larmes. »

J'avais déjà penser à comment me sortir de ce pétrin, j'étais épuisée mais je ne pouvais absolument rien y faire. C'était navrant. j'avais aussi terriblement mal à force de tirer, j'étais pleine de sang aussi, du miens. Elle n'aurait pas pris le risque de s'approcher de trop près après tout.. J'étais incapable de changer de forme bien trop enchainée.. Mais je ruminais ma haine, et quelque chose me dit quelle n'allait pas apprécier. Une nouvelle fois je tirais de toute mes force, je savais qu'elle n'était pas là, les domestiques l'avait dit.. Ils sont cons parfois.. On va pas dire cela devant les cachots.. Je riais devant leur stupidité, j'avais pas mal changer en un an.. Psychologiquement surtout, on me disait folle avant que j'arrivais ici, alors là qu'est-ce que j'étais ? Riez bien, au paradis vous n'en aurez plus le loisir. J'ai mal, j'ai mal.. Me disait mon âme, un petit effort et je serais libre. Enfin libre.

Je tirais une nouvelle fois sur mes liens, ça faisait mal. Je ne pus retenir un cris de douleur, serrant les dents pour ne pas me faire remarquer. Je sentais mon sang couler, j'étais épuisée à ne rien faire.. C'est fou, non ?

Dans un ultime cri je parvenais à changer de forme, prenant celle de dragon et à enfin me libérer de ses chaines. J'avais du mal à marcher et encore plus à me tenir debout, ça faisait un an que je n'avais pas été dans une position de ce genre, mes muscles étaient au supplice, mais j'avais acquis une solide résistance à la douleur en un an. La seule chose à peu près bénéfique que j'avais gagner. J'étirais chaque-uns de mes membres, silencieusement pour ne pas me faire remarquer. J'abaissais ma tête qui me paraissait si lourde, et je poussais sur mes postérieurs fonçant et détruisant toute la maison sur mon passage, tuant pas mal de gens aussi. Mais eux je m'en moquais il avait consentis silencieusement à mon supplice. Alors je m'en moquais.

Je finissais par enfin voir la lumière du soleil couchant, haletante. Je m'étais un peu acharnée à la tâche. Les gens avaient fuit de la rue en entendant le boucan que j'avais fait. C'était pas plus mal. Après tout. J'avais envie de m'écrouler mais il fallait que je tienne jusqu'au bout. J'étais dans une ville, je ne savais pas à l'époque que c'était la capitale. Le soleil m'éblouissait, c'était plutôt douloureux.. Je me décidais donc à arpenter cette ville.. Il fallait que j'en sorte, tout ces murs m'agaçait. Et quelque chose me dit que j'allais rencontrer pas mal de gens à cause du sang dont j'étais couverte.

Je posais mon regard éteint au ciel, il fallait que je vole. Je me sentais vulnérable ici. Je n'aimais pas cet endroit partout ça sentait l'odeur de cette femme. Ça puait il fallait bien le dire. Je me frottais le poignet gauche, à m'en faire saigner.. Ça faisait mal.. Quelqu'un m'observais une femme, je lui décochais un regard acérer et guise de réponse, je n'aime pas être observée. C'était certainement une personne sans importance comme il y en a dans toutes les villes.. Je sentais mes jambes se dérobées je me rattrapais avec une élégance spontanée, je feignais l'agacement. J'étais sur mes gardes. Et la voilà qui osait m'approcher, elle était accompagnée d'une femme. Et elle me dit :

- Qui es-tu ?

J'avais un peu perdu l'habitude de parler cependant je n'aimais pas cette proximité toute nouvelle. Je prenais ma forme de dragon, restant dans une position plus de soumission que d'agressivité. Je n'aimais pas ça.. Je posais mes yeux ternis par ma détention sur elle, je voulais absolument fuir. Elle n'hésitait pas à approcher sa main, elle est folle. l'autre restait méfiante.

- Je ne te veux aucun mal. Que t-es-il arrivé ?
- C'est une Hybride ?
- Non, Magique. Je le sens. Et elle souffre. Elle souriait..

Je gardais la tête haute, histoire d'éviter de futurs coups. Qui j'en étais sure n'allaient pas tarder à tomber. Je les observais de haut, vu que sous cette forme je dépassais aisément les gens. Je me défiais d'elles, j'avais une peur bien encrée en moi. Et puis elles sentaient comme cette femme, ce qui n’arrangeait pas les choses. Je sentais ses doigts sur mes écailles, je ne bougeais pas, l'autre me touchait le ventre. C'était plutôt étrange comme comportement. Je respirais plutôt fort.

- Tu as peur on dirait. Si tu pouvais communiquer, ça m'arrangerai.

Je commençais à avoir la tête qui tournait, je ne devais pas reprendre forme humaine. Bien que je sente leurs mains plutôt douce sur moi. Je n'avais pas confiance. Elle reculait me laissant de l'espace. Je ne comprenais pas non plus ce geste. Je me sentais moins enfermée, puis elle reprit la parole..

- Je peux t'aider, te soigner Tu ne peux pas rester dans cet état.
- Oui. Nous avons de quoi panser tes plaies et repas chaud.
- N.. Non.

Un non sec cependant je reprenais ma forme humaine. Je continuais de me frotter le poignet gauche, qui d'ailleurs était atroce à regarder.La peau était noircie abimée, même à certains endroit il n'y en avait plus, la chair était mise à nue. Ça je l'avais fait moi même, à force de tirer sur mes liens.

- Vous sentez comme cette.. Femme. Je ne voulais pas dire monstre..
- Je sent comme un Déchu. C'est un autre Démon qui t'a mise dans cet état ?

Je sentais qu'elles réfléchissaient, mais réfléchir à propos de quoi ? Rien de dramatique j'espère.. Je désignais de la tête l'endroit d'où je sortais, un quartier plutôt riche. Je me méfiais, j'étais plutôt tendue. Je ne comprenais plus rien. J'attendais mon sort, tout simplement..

- Je ne sais pas..
- Tu viens avec moi.

Et voilà que l'on me portait.. Je n'aimais pas du tout cette situation.. Ces mots sonnaient dans mon esprit comme un ordre, l'autre fille suivait. Je me posais quelques questions sur leurs santé.. Mentale. Je m'agitais avec le peu de force qu'il me restait.Je me sentais attrapée contre mon gré, je n'avais plus le choix, pour changer.. Elle faisait basculer ma tête, j'avais son cou à portée à présent, un geste de confiance ? Je restais un instant interdite, je souffrais..

- Je ne te ferai rien. Juste t'offrir un lit, de quoi de soigner et un bon repas, celui de ton choix. Calme toi alors.

J'arrêtais donc de bouger, je me sentais un peu rassurée. Bien que l'ombre d'un ultime mensonge me parcourait. J'essayais de reprendre une respiration normale. Je n'aimais pas cette situation.. Je lui fessais confiance, même si cette confiance était de la résignation. Je fermais mes yeux, devenant plus légère. Elle m’emmenais dans une chambre, grande. Il y avait même un balcon. Elle me posait délicatement sur le lit.

- Tu sera toujours mieux que dehors abandonnée à ton triste sort. L'autre femme sortait. Comment t'appelles-tu ?

J'avais peur, je ne m'en cachais pas. Je fixais la femme, je ne comprenais plus rien. J'arrivais cependant à articuler mon nom. J'étais belle et bien sur mes gardes, l'endroit empestait la même odeur que l'autre folle qui m'avait enfermer pendant près d'un an. Et je n'étais pas près de l'oublier. J'observais la pièce, pas de chaine rien, ça ne sentait plus le sang. J'étais prête à m'enfuir à la moindre menace, bien que dans mon état je n'irais pas bien loin. L'autre femme revenais avec un plateau, et le posait sur le lit à côté de moi. Cette dernière me lançait un petit sourire.

- Enchantée Night. Je me nomme Sélene Esperance, Divine des Déchus. Et voici Alice Thérence, une amie proche. Elle prenait un flacon sur le plateau. C'est un désinfectant/cicatrisant. Ça devrait te soulager. Montre tes poignets.
- Joue pas avec ça.. C'est peut être.. Dangereux ?.. Je ne savais pas ce que c'était alors je me défiais.

Je promenais mon regard sur cette "Divine" et l'autre femme, pas plus rassurée que ça. Je m’exécutais cependant, j'en serais les dents d'avance. ça me démangeais un instant rien de bien méchant. Je ne détournais pas mon regard de cette femme, méfiance encore. Puis curiosité.

- Tu devrais rapidement te sentir mieux. Où d'autre es-tu blessée ?
- C'est le seul endroit, à force de tirer sur mes liens. Je parlais toujours comme une enfant malgré mes quinze ans.

Je baissais lentement les yeux, fixant ses mains. J'étais un peu désarçonnée, n'étant pas habituée à ce genre de comportement. Je ne levais pas les yeux, préférant éviter ce contact là. Puis elle posait une main rassurante sur mon front, dégageant quelques mèches. L'autre femme sortait, je la suivis du regard avant qu'elle ne disparaisse.

- C'est finis.. Je sentais quelque chose de chaud s'introduire en moi, quelque chose de doux, de chaleureux..

Je ne comprenais rien à ce qu'elle me faisait, j'étais là mais je n'existais pas vraiment. Je me contentais de garder le silence tendis que l'on me soignait, me disant quelques paroles gentilles. Bien vite mes deux poignets allaient mieux, je me sentais d’avantage libre, le poids de mes chaines s'était envoler.

- Tu devrais rapidement te sentir mieux. Où d'autre es-tu blessée ?
- C'est le seul endroit, à force de tirer sur mes liens. Je parlais encore et toujours comme une gosse. J'étais perdue dans un monde que je ne connaissais pas.

Je cachais ma surprise, observant avec attention ses mains. C'est toujours avec les mains qu'on frappe, les pieds c'est quand on est presser. je restais indifférente à mon sort, désarçonnée par le fait que l'on s'occupe autant de moi. Je ne levais toujours pas les yeux, préférant éviter la moindre punition. Elle posait encore une fois sa main sur mon front répétant : C'est fini.. cette phrase résonnait dans ma tête comme si on me frappait. Elle continuait de m'observer dans les moindres détails, j'avais l'impression d'être un malheur livre déchiré, un livre dont le sort ne veut plus. Mes lèvres ne purent dire que : Vraiment ? Non ça ne pouvait pas finir, ça ne finirait jamais ! Je refusais de croire que mon calvaire était terminer.. Oui je refusais. Cette femme soupirait bien tristement.

- Tu as du subir ton bourreau bien longtemps pour dire cela.
- Je ne sais pas trop, s'était long c'est tout. Puis je me suis enfui.

Elle me parcourait comme si je n'étais qu'une simple poupée, ça ne me gênait pas. L'autre femme revenait avec un panier de fruit. Je lui jetais un regard farouche, elle semblait si amusée, je l'enviais. Non j'étais tout simplement jalouse. Étant quasiment incapable d'avoir des sentiments. Et cela ne date pas d'hier. J'attendais son verdict, comme un prisonnier qui va être exécuter : avec calme. Je n'avais eu mal qu'aux poignets. je posais un regard un peu sauvage sur elles, elles avaient des manières étranges on aurait presque dit un couple.. Elle me disait un truc du genre : Sers-toi, ne te gêne pas.

Dans le doute j'attrapais une pomme, cela faisait bien longtemps que je n'avait pas manger de la vraie nourriture. Il y a quelques temps je ne savais même pas ce que je mangeais. Je jetais un regard aux deux femmes de temps en temps. Ce ne fut pas moi qui brisait le silence.

- Night, quand tu seras plus à l'aise, j'aimerai que tu m'expliques, en détails, comment tu en est arrivé là. S'il te plait.
- Pourquoi ? Ce n'est pas quelque chose de normal ? Dis-je tout en croquant une nouvelle fois dans la pomme. Je me demandais pourquoi elle tenait tant à savoir, je ne comprenais plus la situation.
- Non, ce n'est pas une situation habituelle. Dit-elle tout en me jetant un regard gentil.

Après tout j'avais toujours été traitée ainsi, donc situation normale pour moi mais ça vous l'avez deviner. Je doutais de mes propres dires à présent, ces femmes installaient le doute dans mon esprit, défiance.. Bon après la conversation était tellement banale que je vous en épargne le contenu. L'autre femme, Alice, voulait me donner certains de ses vêtements. Je prenais une mine enfantine tout en enroulant une de mes mèches autours d'un de mes doigts. Sois disant ça lui fessait plaisir.. J'hésite.. Je finissais par consentir à me dévêtir, n'ayant pas plus de honte que ça, je posais ma main sur mon épaule gauche. Là ou se trouvait une partie de l'oiseau noir que j'avais tatoué dans le dos. Tristement..

- D'où vient-il, ce symbole ? Visiblement elle était curieuse.
- C'est une des créatures favorites de ma famille, un oiseau-tonnerre. J'étais plutôt contente qu'elle me le demande.
- Tu veux bien m'en dire plus ? Elle souriait.
- C'est un oiseau qui maitrise la foudre, vu que j'ai été la première à maitriser cet élément on me l'a tatouer. Bon entre temps je ne m'étais toujours pas habillée mais bon..

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Retrace III,
Fondation des Ailes Noires..

« La nuit tombe, vous frôle en passant de son Ailes Noires toute humide. »

« Si tu me veux faudra te battre, si tu gagne je te suis, si tu perds tu m'appartiens. Même si je ne pense pas que tu ira très loin avec tes ailes.. Tu ne fais que reproduire bêtement ce que tes pairs ont fait. - Vous êtes bien charmant mais je ne suis pas un objet, je relève cependant ce défi, Dragon. C'est une promesse que j'ai faite il y a longtemps et quitte à mourir autant mourir avec dignité. Battons-nous. »

Un mois avait finis par s'écouler. Je me sentais vivante mais sans plus.. Un peu mal.

J'avais finis par trouver la personne que je voulais, par un malheureux hasard je l'avoue.. Je ne pensais pas que c'était aussi facile de trouver la Reine. Elle m'a dit qu'elle tiendrait un conseil pour moi. Je ne sais plus trop comment j'étais quand elle me l'a dit. C'était un plan complètement fou, après cette conversation on ne peut plus banale je me descendais à rentrer à la Citadelle.. J'avais envie de lire, très envie. Il falait que je me renseigne à tout prix. Quelqu'un frappait à ma porte, je sentais une légère tension. J'avais repris du poil de la bête, je me levais et j'ouvrais quittant mes cinq livres.. Que je devrais terminer plus tard.

- Ah tiens Selène, je te sens un peu tendue.. Ça ne s'est pas bien passer ?
- Réunion déplorable. Je hais la politique. Bref, comment vas-tu ? Elle soupirait.
- Change de branche alors. Je vais bien je travaillais un peu, rentre donc.

Je revenais à mon lit, rangeant les livres qui prenaient toute la place et dire qu'autrefois je ne supportais pas de voir une pièce mal rangée.. J'avais pris soin de fermer le reste des livres. Je l'invitais à s'assoir à côté de moi.

- Merci. Contente de te voir sortir de l'ombre. Elle finissait par s'assoir. Tu écris ? Elle était curieuse, cela m'amusait.
- C'est juste quelques idées pour quand je me serais trouver une place stable. Je ne pourrais jamais gagner ma vie juste en écrivant.. Je souriais.
- C'est bien si tu te projette dans le futur. Je pense que tu n'auras pas de mal à trouver un emploi stable. Je peux t'aider si tu le désires ? Elle me paraissait plutôt enthousiaste à cette idée.
- Il ne me reste que quelques détails à régler et j'aurais terminer. Je fermais le livre dans lequel j'écrivais. J'ai trouver la Reine pendant ton absence et nous en avons discuter. Elle a dit qu'elle convoquerait les dirigeants pour cela.
- Bien.. Une convocation suite à ton enfermement et le reste ? Elle penchait la tête sur le côté.
- Ce n'est pas du tout pour ça, j'ai eu une petite idée.. Je garde ça secret pour l'instant. Tu le sauras à cette réunion, j'espère que l'on ne me refusera pas cette faveur. Je l'observais avec attention.

{ Ça c'était le début des Ailes Noires, qui bien plus tard allait montrer sa toute puissance.. Même si au début nous sommes partis de rien maintenant nous sommes respecter et même crains. }

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Retrace IV,
Pertes et Réunions..


« Aimer, ce n'est pas s'installer une fois pour toutes au sommet
de ses certitudes. C'est douter toujours, trembler toujours.
Et puis, demeurer vigilant pour éviter que le poison
mortel de l'habitude ne s'insinue et nous tue,
ou pire : nous anesthésie. »

« Tout le monde est à la recherche de quelque chose.. Certains d’entre eux veulent t’utiliser ; Certains d’entre eux veulent que tu les utilises. Certains d’entre eux veulent t’abuser ; Certains d’entre eux veulent se faire abuser. »

Ce que l'on remarque cher elle, c'est surtout son air hautain, sa façon d'observer les choses de haut. Elle a une aura qui pousse au respect mais bien plus au silence. Disons que Night à quelques petits problèmes de vue, en effet elle ne vois plus très clair.. Vu son âge faut la comprendre.. Bref passons à la description si vous me le permettez.

Portant le plus souvent une robe richement décorée noir ou bleu très foncé. Ses cheveux noirs le plus souvent détachés. Possédant des yeux bleus glace très expressifs ils ont cependant une fâcheuse manie c'est de virer au bleu électrique quand cette dernière s'énerve. Portant aussi des talons asser haut pour se 'grandir' un peu étant de taille relativement modeste. Elle est très légère et d'allure fragile. Elle boite très légèrement de la jambe gauche, vous comprendrez plus tard le pourquoi. Elle porte aussi un tatouage : un Thunder-bird noir, dans le dos, entourer de foudre. Elle porte une grand attention à cette marque, c'est le seul souvenir qu'elle possède de son ancienne vie en tant qu'Ailes Noires.. La première impression que l'on à d'elle c'est un personnage hautain, au port de tête haut.. Elle a la capacité de changer de forme sa première forme est celle d'un loup noir, elle ne s'en sert quasiment jamais. La deuxième celle d'un cheval noir aux allures relever. Et les dernière et la plus puissante celle d'un dragon noir aux ailes plumeuses, elle ne craint quasiment rien sous cette forme sauf si elle le désire réellement.

Pour ce qui est de sa vue elle voit comme s'il faisait nuit, les couleurs qu'elle voit le mieux sont le blanc, le bleu et le rouge. Toutes les autres couleurs elle ne les voit pas ou peu comme par exemple le rose, elle le verra rouge. Le vert est une couleur qu'elle voit très peu. Le brun ou le marron elle les verra gris. Ect..

Elle porte aussi une épée asser longue à la lame faite de cristal, donc transparente. Cette épée à une caractéristique c'est de changer de couleur en fonction de l'humeur de Night. Elle s'en sert avant tout pour utiliser son élément sans se fatiguer. L'énergie étant dans la lame.

Symbolique :
- Le Loup : Il représente l'endurance.
- Le Cheval : Il représente la vitesse et l'élégance.
- Le Dragon : Il représente la noblesse et la puissance.
- Les Plumes : Elles représentent un statut élever.
- Les Chaines : Elles représentent le lien entre le ciel et la terre.
- L'Oiseau-Tonnerre : Il représente le changement.
- Le Griffon : Il représente l'avarice.

Armes :

- "Zëphyr Rainya" : Lame forgée dans le diamant, elle est incassable et a naturellement des propriétés conductrice. Night s'en sert exclusivement pour lancer des attaques qui font beaucoup de dégâts. Cette lame appartenant à Lawrence Van Aurios, le fondateur de la lignée des Coursevent. Il lui en a fait cadeau quand elle est devenue son bras droit.
- "Maldad Fuerza" : Lame composée de sang de dragon et donc empoisonnée. La lame est d'un violet très foncé. Dans la lame se trouve un os de démone, car les épouventeurs peuvent aisément tuer les doppelgängers et Night se méfie particulièrement de ces derniers. Cette lame appartient à Ténèbra Aurios, la grand-mère de Night. Elle l'a gagner en se battant à 'mort' contre cette dernière. Cette arme à une personnalité maléfique, elle cherche toujours à contrôler ceux qui l'utilisent (Sauf Ténèbra).
- "Aramyr Saerkan" : Cette épée possède une lame de la même couleur que ses yeux. Elle s'en sert que très peu.



Polymorphie
« Je suis en train de changer ma vie par mes actions. C'est un choix qui m'appartient.. »

- Loup : Night à eu cette forme à la naissance. Elle est très rapide sous cette forme. Il n'y a rien d'autre à dire là-dessus.

« Aujourd'hui, j'ai peur de vivre et demain, j'aurais peur que l'on m’oublie. »

EN COUR

« J'ai trouvé plus de joie dans la tristesse Que vous pourriez en trouver dans la joie. »

Non je n'étais pas morte, je me sentais encore vivante. Mais quelque chose n'allait pas. C'est un peu étrange je me sentais bien..

« Je ne veux désormais collectionner que les moments de bonheur. »

EN COUR